Sossusvlei, Deadvlei et les plus hautes dunes du monde

Nous sommes venus (à Sossusvlei)

Nous avons vu (des paysages époustouflants)

Nous avons vaincu (les plus hautes dunes du monde)

Ben c’est hyper crevant !!!

Retour sur notre journée de guerriers :
Tels des soldats bien disciplinés, nous rejoignons les rangs de voitures en attente devant les grilles du parc dès potron minet. Levés à 5h10, les valises jetées dans le coffre du 4×4 et le petit-déj bien emballé par nos hôtes stocké dans le sac à dos, nous nous mettons en route vers le Namib-Naukluft park. Les grilles ouvrant au lever du soleil, une horde de voitures rugissantes s’engouffre comme un seul homme, à 6h45, sur la route vers Sossusvlei. Et nous avec.

La file d’attente à l’entrée :

La route de 60 km qui mène au fond du parc est asphaltée, ça roule bien et même bien plus vite que la vitesse autorisée ! On fait quelques arrêts photo au niveau de la dune 45 (située à 45 km de l’entrée) et ses voisines. Beaucoup de visiteurs choisissent de monter en haut de cette dune moins haute et plus près de l’entrée que celles du secteur de Sossusvlei.

Arrivés sur le parking, deux options s’offrent à nous : se garer et prendre une navette payante pour aller à Deadvlei et Sossusvlei, ou bien s’y rendre avec notre propre voiture. Laurent hésite. Il ne reste que 5 km à parcourir mais sur une piste de sable mou. Une berline est plantée dans le sable jusqu’à mi-roues moins de 10 mètres après le début de la piste… ça met tout de suite dans l’ambiance ! En même temps, même en mode 4×4 c’est chaud, alors en 2×4, faut être un peu utopiste (pour rester polie !) pour penser que ça va passer !

La personne qui nous a accueillis à l’aéroport nous a expliqué qu’il fallait dégonfler les pneus à 1,5 bars et comment s’en sortir si on s’ensablait. Alors Laurent décide finalement de tenter le coup mais sans dégonfler les pneus car nous n’avons pas de manomètre et personne sur le parking ne semble en posséder. Par endroits, le sable est vraiment mou et les traces sont profondes. On se croirait dans le Paris-Dakar 🙂 On est secoués. Laurent essaie de suivre les traces déjà faites par les voitures précédentes et on avance jusqu’au moment où, en voulant rétrograder pour reprendre un peu de vitesse, la voiture cale et… on s’ensable légèrement en voulant repartir. Laurent applique les conseils qu’on lui a donnés et, en boîte courte, il s’en sort nickel !

Au bout de la piste de sable, nous atteignons le Paradis ! Que c’est beau !

Deux dunes les plus hautes du monde nous dominent. L’une, surnommée Big Daddy – la plus haute, environ 350 mètres – est bondée de monde ; l’autre, surnommée Big Mama, est beaucoup moins plébiscitée. C’est sur cette dernière que nous jetons notre dévolu. Une famille de quatre est en train de monter pendant que nous prenons notre petit-déj entourés d’oiseaux voraces qui guettent nos miettes. Le temps qu’on se mettent en route, ils descendent déjà et nous avons la dune rien que pour nous. Trop bien !

On monte tranquillement, chacun à son rythme. C’est à dire que j’arrive 5 bonnes minutes après les garçons ! Voyez, ils sont déjà au sommet alors qu’il me reste encore un bout de chemin à faire !

Le panorama est époustouflant ! On voit Big Daddy et, à son pied, Deadvlei, le fameux salar (désert de sel et d’argile) avec ses arbres morts où nous irons ensuite.

Au pied de Big mama, c’est Sossusvlei, un autre salar.

Après avoir rempli les appareils photo, on dévale la pente en courant en direction de Sossusvlei. Léo et Axel s’en donnent à cœur joie.

Autant vous dire que le vidage des chaussures est obligatoire en arrivant en bas !

Nous reprenons la voiture jusqu’au parking de Deadvlei (Laurent maîtrise trop bien la conduite dans le sable maintenant !). Là c’est les Champs-Elysées ! Il y a un monde fou alors qu’il n’y avait presque personne à Sossusvlei. C’est que Deadvlei est l’un des sites touristiques les plus visités de Namibie alors c’est la rançon du succès. Cela ne nous empêche pas de profiter nous aussi de la beauté du site en plaignant les touristes qui entreprennent l’ascension de Big Daddy en pleine chaleur. Parce qu’autant ça caillait ce matin (12°), autant vers 11h il fait bien chaud et ils doivent bien galérer.

Les contrastes sont saisissants entre le blanc immaculé du sol, le brun des arbres, l’orange des dunes et le bleu du ciel. Les salars de Sossusvlei et Deadvlei sont la conséquence de l’assèchement d’anciens marais créés par la rivière Tsauchab. Les dunes ont fini par empêcher l’arrivée d’eau, les arbres se sont desséchés et le sel s’est déposé sur l’argile, constituant ce sol tout blanc.

On pique-nique avec une vue 4 étoiles sur les dunes, puis on reprend la piste de sable pour repartir vers notre prochaine étape : Rostock Ritz Desert Lodge. Sur le retour, on s’ensable encore légèrement mais le passage en boîte courte nous sauve à nouveau. En fait, le mode 4×4 ne suffit pas, il faut se mettre en boîte courte en gardant une vitesse constante et ça passe tranquilou même sans dégonfler les pneus.

Sur la route, on voit des cercles de fée. C’est un phénomène naturel inexpliqué qui consiste en des cercles parfaits, vierges de végétation au centre et avec une végétation plus haute que celle environnante sur le pourtour. Nous faisons une brève étape à Solitaire, un mini village au milieu de nulle part aux airs de Bagdad Café.

Notre étape du soir, le Rostock Ritz Desert Lodge est super sympa. En plus on nous surclasse et on se voit attribuer la chambre honeymoon avec une belle terrasse qui donne sur la savane.

Le lodge recueille des suricates orphelins ou abandonnés par des particuliers. Ils sont trop mimis ! En revanche on est surpris par leur taille car on pensait qu’un suricate mesurait dans les 40 / 50 cm debout alors qu’ils doivent faire à peine plus de 20 cm.

Eh oh, c’est par là qu’il faut regarder ! Le soleil se couche sur les bungalows tout ronds du Rostock Ritz (les nôtres sont les deux derniers à gauche).

Ce soir, on teste le steak d’oryx. C’est très bon mais pas autant que le steak de koudou du Lapa Lange.

28 juillet – Ces fichues Fisher Towers

La voiture s’est bien reposée, il n’y a pas de flaque suspecte en-dessous… tout va bien. Le choc sur le rocher de la Potash road n’a pas dû être trop méchant. Oufff !

Nous quittons Moab à regret. On adore ce coin. Les paysages, la Colorado river, l’ambiance de la ville, la « coolitude » des gens, les restos, les boutiques… Tout est plaisant.

Notre défi de la matinée est de faire la randonnée au pied des Fisher Towers en se rendant au moins au pied du Titan, la plus grande de ces tours de pierre situées sur la route panoramique UT-128 qui longe le Colorado. Il y a deux ans, nous nous étions contentés de les contempler de loin, depuis la piste d’Onion creek et depuis la route 128.
Photos souvenir :

Onion creek - Fisher Towers, Moab
Fisher Towers, Moab

La rando en entier fait 6,8 km et seulement 5 km aller-retour jusqu’au Titan. Facile ! En plus, il paraît que si on commence la rando pas trop tard, le sentier est en partie à l’ombre.
Sur le papier, tout est parfait. Oui mais…
D’abord, comme presque tous les jours depuis le début du voyage, nous avons du mal à tenir le timing fixé et à partir à l’heure de l’hôtel. Ensuite, nous n’avons pas été prévoyants hier et n’avons rien à manger pour ce midi donc il faut faire des courses avant de partir de Moab. Pour finir, le sentier est très mal balisé et nous nous engageons sur deux fausses pistes avant d’abandonner ! Je ne sais pas si c’est fait exprès pour embrouiller les futurs randonneurs mais certains s’amusent à créer des cairns un peu partout ; du coup, on ne sait plus lesquels suivre. Pour une fois, les américains pourraient copier l’exemple français et mettre quelques traits de peinture sur les rochers. Ce serait plus fiable que les petits tas de cailloux sans pour autant dénaturer le paysage. Et pour couronner le tout, nous sommes à contrejour donc nos photos sont pourries !!!!! Un conseil : si vous y allez un jour, faites la randonnée en fin de journée et apportez une boussole 🙂

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Après 1h30 de marche et d’escalade de rochers au sein des Fisher Towers, nous n’avons pas réussi à aller au pied du Titan. Nous ne sommes pas loin et, en revenant vers le parking, nous trouvons finalement la trace du bon chemin (enfin, je crois !) mais le temps et la force nous manquent pour persévérer. Et avec tout ça, il est déjà midi donc on commence à avoir faim et trop chaud. Nous pique-niquons à l’ombre d’un arbre au bord du Colorado. Dernier pique-nique du voyage…

Pour rejoindre Grand Junction, notre ville étape pour la nuit, nous parcourons la totalité de l’UT-128 en faisant un arrêt à Cisco. C’est un village fantôme. Un vrai, pas une reconstitution. Deux scènes de Thelma et Louise ont été tournées ici. Malheureusement, il a été pillé et la plupart des bâtiments sont détruits. Ce qui nous surprend, ce sont les 2 ou 3 maisons en bon état relatif au fond du village. Des gens habitent ici !!! Il faut en vouloir ou vraiment ne pas avoir le choix pour vivre au milieu de véhicules rouillés, maisons écroulées, caravanes abandonnées… il y a même un mouflon mort en décomposition au bord de la route !!! C’est glauque !!! Drôle de dernière rencontre avant de quitter l’Utah.

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De retour dans l’Etat du Colorado, nous parcourons les 37 km du Colorado National Monument. C’est un petit parc qui offre des vues sur des formations rocheuses et des canyons. C’est joli mais après les grandioses parcs d’Arches, Canyonlands et même le Canyon de Chelly, il ne fait pas le poids ! Pas assez rouge, pas assez profond, pas d’arches, pas de ruines, pas de rivière qui coule au fond (trop loin pour être visible)… Et la proximité de Grand Junction gâche le paysage puisqu’on voit la ville en arrière-plan. Pas très « wild west » tout ça…

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Entrés dans le parc à Fruita, nous ressortons à l’autre bout à Grand Junction. Sur la route qui rejoint le centre-ville, on voit de magnifiques villas aux proportions énormes. Ca doit être sympa d’habiter là !

Arrivés à l’hôtel Clarion, nous faisons un tour à la piscine. Elle est très agréable, chaude et entourée d’arbres et de fleurs. Bizarrement il n’y a pas grand monde alors que l’hôtel est énorme. Pour le dîner, nous avons trouvé un petit resto super sympa, The Ale House, où on peut manger en terrasse ou dans le jardin. Les frites de patate douce sont excellentes !

26 juillet – Negro Bill canyon

A force de ne pas mettre le réveil et de trainer au lit, ce matin nous avons failli louper le petit-déjeuner ! Il était servi jusqu’à 9h et nous avons ouvert les yeux à 8h38 !

Sur la route vers Moab, nous faisons un détour à Needles overlook. C’est un point de vue spectaculaire sur le parc de Canyonlands. D’ici, on peut voir toutes les parties du parc : the Needles (qu’on devait découvrir aujourd’hui en randonnant sur Chesler park), the Maze (le labyrinthe), Island in the sky (où nous avons prévu d’aller demain) et même Dead Horse point (si vous ne voyez pas ce que c’est, revisionnez la fin de Thelma et Louise !). On est à 2000 mètres d’altitude et on a presque l’impression de survoler le parc tellement le regard porte loin.

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Juste avant de tourner en direction de Needles overlook, il y a un rocher très particulier sur le bord de la route. Il est tout seul et tout arrondi. Dans les années 1930, une petite communauté d’illuminés s’est installée dans le coin avec l’idée de creuser le rocher pour faire une église à l’intérieur, d’où le nom de Church Rock qui lui a été donné. A priori, ils étaient peu équipés et n’ont réussi qu’à creuser l’ouverture que l’on voit sur l’avant.

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Encore un peu plus loin vers le nord, on ne peut pas rater Wilson arch qui se trouve au bord de la route mais à contrejour le matin.

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Arrivés à Moab, nous faisons nos courses au rayon Deli du City Market pour aller pique-niquer au bord du Colorado. Puis nous entamons la randonnée du jour dans Negro Bill canyon pour atteindre Morning Glory arch tout au bout. C’est une belle balade qui alterne entre passages dans la végétation, élévations sur la roche et descentes dans la rivière. Notre problème, à nouveau, c’est qu’il fait super chaud (104° F = 40° C) et que la rando, qui devrait être facile s’il faisait 20°, devient difficile ! Heureusement, l’arche qui se trouve au bout et l’eau fraiche nous font oublier la chaleur.

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Et voici Morning Glory arch, qui se détache à peine de la falaise dont elle était solidaire avant :

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On se rafraichit avec l’eau qui sort d’une faille dans la falaise et qui donne naissance à la rivière que nous avons traversée à plusieurs reprises :

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Sur la photo d’au-dessus, on aperçoit une corniche (au-dessus de la tête des garçons, légèrement à droite) avec un point noir et un point beige. C’est un corbeau et une chouette qui nous observent :

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Au retour, le soleil passant derrière la falaise, nous sommes davantage à l’ombre.

Voilà pour aujourd’hui. La journée se termine dans la piscine de l’hôtel Holiday Inn et à la Moab Brewery pour le dîner (déjà testé et approuvé il y a 2 ans).

Edit : en 2017, Negro Bill canyon a été rebaptisé Grandstaff canyon… un nom moins discriminatoire qui évitera les polémiques !

23 juillet – Le canyon de Chelly

Nous avons passé une bonne nuit à l’Econo Lodge old town d’Albuquerque. Un peu écourtée par les voisins lève-tôt mais la gentillesse des gérants a vite fait oublier ce détail. Ils nous ont proposé des bouteilles d’eau et des fruits pour la route. Sympa.

Après un arrêt pour quelques courses à Grants, nous nous arrêtons à Window Rock. Ce village Navajo est niché au pied d’une falaise trouée d’une belle arche.

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Le Hubbel Trading Post, à Ganado, offrant des tables de pique-nique à l’ombre, nous choisissons d’y sortir notre glacière.

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Vers 15h, nous nous enregistrons au Holiday Inn de Chinle et piquons une tête dans la piscine super agréable et chaude de l’hôtel. C’est la plus chaude dans laquelle nous avons eu l’occasion de nous baigner. Toutes les autres étaient fraîches – voire froides – alors qu’il fait près de 40° tous les jours… comprends pas !

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Vers 16h30, nous prenons le chemin du Canyon de Chelly dont l’entrée se trouve tout près de l’hôtel. Après une fausse route en direction de la rive nord du canyon, nous faisons demi-tour et trouvons la route de la rive sud. Chaque point de vue sur le canyon est magnifique. Le contraste du vert des arbres et des cultures avec la roche rouge est splendide. Des familles Navajo habitent le canyon et cultivent le fond qui est irrigué par une rivière (à sec en été).

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Un seul chemin de randonnée permet de descendre au fond du canyon sans besoin de prendre un guide. C’est le White House trail. On descend 360 mètres de dénivelé sur un chemin de 2 km (4 km aller-retour) plus ou moins escarpé et aménagé le long de la falaise… puis on les remonte ! Tout cela pour voir de près la White House, la plus belle ruine du canyon. Et ça vaut l’effort.

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Qui arrivera à voir la White House sur cette photo ?

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Tout au bout de la route, se trouve la vue emblématique du parc : Spider Rock. On a droit à un timide coucher de soleil voilé par les nuages.

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Nous retournons rapidement à Chinle car le resto de l’hôtel ferme à 20h30 le week-end. Comme il n’y a pas grand choix de restos dans le village, on se dépêche. Nous y arrivons à 20h20 ! Il font des réductions pour les enfants donc la note finale est douce : 27$ pour quatre plats et les boissons !

21 juillet – White Sands

La mise en route n’est pas rapide ce matin… ça devient une mauvaise habitude ! Nous profitons une dernière fois du fameux petit-déjeuner dans le patio de l’hôtel et je discute ensuite tout un moment avec une dame et sa fille. Nous regardons toutes les trois les bijoux exposés par une courageuse mamie indienne (89 ans, et son père de 106 ans l’aide à faire les bijoux !). Elles sont très bavardes et Axel est obligé de venir me chercher car le reste de la famille m’attend dans la voiture… et dire que d’habitude c’est moi qui presse tout le monde pour partir le matin !

Nous prenons la route pour aller encore plus vers le sud, direction Alamogordo, à 140 km de la frontière mexicaine. Le trajet présente peu d’intérêt. De grandes étendues désertiques, des routes aux lignes droites infinies, peu de villages… ah si ! Carrizozo.

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Vous avez déjà vu un âne avec des poignées ???

Après un Subway vite avalé, nous prenons possession de notre chambre au Magnuson hotel…  après le Inn of the Governors de Santa Fe, la différence de confort est cruelle mais ce n’est pas le même prix non plus !

En fin d’après-midi, malgré les nuages menaçants qui nous entourent, nous reprenons la voiture pour découvrir le parc national White Sands. C’est un désert de gypse dû à la présence de la mer il y a des millions d’années. Un endroit unique et fascinant qui invite à la contemplation, mais qui peut aussi devenir un piège mortel si on ne prend pas quelques précautions.

Armés de nos poches à eau, de casquettes et lunettes de soleil, nous parcourons une partie de l’Alkali Flat Trail. Cette randonnée est la plus longue du parc mais nous n’en faisons que 3 km environ. Encore une fois, la chaleur et la marche dans le sable ont raison de notre volonté. Cela dit, nous sommes allés suffisamment loin pour nous retrouver complètement cernés par les dunes blanches, complètement isolés, dans un silence assourdissant. Sensation étrange. Evidemment, nous avons une pensée pour les deux français décédés ici même, en août dernier, victimes de déshydratation.

Pas facile de prendre correctement les photos avec tout ce blanc et les nuages, mais voilà un aperçu des moins ratées :

J’ai acheté une luge à l’entrée du parc. Les garçons se sont amusés à descendre les dunes, comme on ferait de la luge sur de la neige :

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On trouve quelques rares bêtes :

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Le soleil se couche sur les dunes (enfin, on suppose car on ne l’a pas vu derrière les nuages !) et nous filons au Walmart acheter des choses à grignoter dans notre chambre. Demain, s’il fait beau, nous retournons faire un tour à White Sands avant de remonter vers Albuquerque.